srebrenica, nuit à nuit

Bosnie – Herzégovine 2015

Grant Winner of Emerging Talent Awards LensCulture
Prix Maison Blanche de la Photographie Contemporaine
Prix International des Nouvelles Ecritures – Zoom Festival de Saguenay (Canada)
et Festival Tranzioni de Bologne (Italie)
Mention Spéciale du Moscou International Foto Awards
Coup de coeur Zoom 2015 Salon de la Photo de Paris
Prix du Jury MENTOR Freelens / SCAM Session #1
2nd Prix Fisheye des Rencontres d’Arles

Le 11 juillet 1995, l’armée serbe de Bosnie attaque l’enclave musulmane de Srebrenica.
Plus de 8000 hommes seront massacrés en 3 jours.
20 ans plus tard, la ville semble figée dans l’obscurité de son histoire.
Une nouvelle génération erre dans ses vestiges.
Elle a l’âge du génocide.

July 1995 : The Serbian army from Bosnia launched an attack upon the Muslim enclave of Srebrenica, in Bosnia and Herzegovina.
Nearly 8,000 men were massacred in three days.
20 years later, the city seems frozen in its own history.
And a new generation wanders throughout its dark remains, overshadowed by genocide.

Revue de presse 


« Ses photographies sont simples et silencieuses. Elles ne sont pas sans rappeler
le travail du grand artiste américain Edward Hopper, dont les toiles, elles aussi
précisément éclairées, captaient l’essence de la mélancolie et de la solitude
humaine. Comme Hopper, le photographe déploie un réalisme si puissant qu’il
emmène le spectateur au-delà de la surface, vers l’intériorité. »
Roger Cohen, écrivain et éditorialiste pour le New-York Times.

« Nous sommes happés par ces images cinématographiques, pleine de silence
et de mystère. Notre rêverie est interrompue quand nous réalisons qu’elles sont
le témoignage d’une communauté marquée par la guerre. Selbert communique
avec justesse la dure réalité pyschologique des survivants du massacre de 1995
grâce à des images puissantes, toute à la fois belle et glaçante. »
Ada Takahashi, Robert Kokh Gallery – San Francisco
pour LensCulture magazine.

 

« Nous, les observateurs, demeurons respectueusement en dehors de cette nuit
qui ne semble jamais capable de se dissoudre dans le jour. Nous réalisons que
nous ne contemplons pas les choses ou les gens, mais que ceux-ci nous sont
révélés par la lumière artificielle des lampadaires. Selbert veut que nous nous
interrogions sur les “désatres de la guerre”, et précisément sur ceux qui nous
sont invisibles. »
Oscar Meo, Philosophe – Faculté de Genova
pour Genti Di fotografia magazine.

 

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